Grande manif nationale lundi 20 juin!

La vie est chère.

Il faut de meilleurs salaires!

Il est temps d’agir!
Grande manif nationale
lundi 20 juin 2022!

Gare de Bruxelles-Nord / 11h

La vie est chère.

Il faut de meilleurs salaires!

La vie est de plus en plus chère. Le chauffage, la nourriture, les carburants, le logement… les prix ont explosé. L’indexation absorbe le plus gros de l’impact. Sans elle, de nombreuses personnes seraient en situation de grande pauvreté. Aucun politicien n’ose plus, aujourd’hui, attaquer l’indexation.

Mais l’indexation, à elle seule, ne suffit plus. Les personnes qui ont des revenus faibles ou moyens, ne s’en sortent plus. Car toutes les augmentations de prix ne sont pas incluses dans l’indexation des prix. En outre, l’ajustement de l’indexation se concrétise généralement bien après la hausse des prix, parfois même un an après.

Cela crée une différence entre l’augmentation réelle du coût de la vie et l’ajustement du pouvoir d’achat par l’indexation.

C’est pourquoi il faut que les salaires puissent à nouveau augmenter, sensiblement.

Or, la loi sur la norme salariale l’interdit. Elle n’autorise qu’une très faible progression des salaires. Pourtant, selon la Banque nationale, les entreprises belges réalisent des bénéfices historiquement élevés, bien plus que dans les pays voisins.

La CSC, la FGTB et la CGSLB veulent une prise de conscience politique. La loi sur la norme salariale doit être modifiée. 87 390 personnes (il nous en fallait 25 000) ont signé notre pétition en ce sens! Le Parlement est désormais obligé d’entamer le débat sur ce sujet. Nous devons continuer à mettre la pression, c’est pour cela que nous organisons une grande manifestation le 20 juin.

La vie est de plus en plus chère. Les prix du gaz, de l’électricité, du mazout, de l’essence et du diesel sont extrêmement élevés. En parallèle, les grandes entreprises internationales du secteur de l’énergie réalisent d’énormes bénéfices en profitant de l’envolée des prix, aggravée par la guerre en Ukraine.

Des entreprises répercutent les coûts de l’énergie sur leurs prix. L’indexation absorbe le plus gros de l’impact pour les travailleurs, mais cela ne suffit plus.

Résultat: les personnes qui ont des revenus moyens ou faibles ne s’en sortent plus. Et ne voient pas le bout du tunnel…

C’est pourquoi il faut que les salaires augmentent. Sensiblement. Or, la loi sur la norme salariale l’interdit. Elle n’autorise qu’une très faible progression des salaires. Pourtant, selon la Banque nationale, les entreprises belges réalisent des bénéfices historiquement élevés, bien plus que dans les pays voisins.

Il n’y a pas que les prix de l’énergie qui explosent. Faire ses courses devient de plus en plus cher. Tous les supermarchés ont annoncé qu’ils allaient encore augmenter leurs prix. L’indexation absorbe le plus gros de l’impact, mais cela ne suffit plus.
Résultat: les personnes qui ont des revenus moyens ou faibles ne s’en sortent plus. Et ne voient pas le bout du tunnel…
C’est pourquoi il faut que les salaires augmentent. Sensiblement.
Or, la loi sur la norme salariale l’interdit. Elle n’autorise qu’une très faible progression des salaires. Pourtant, selon la Banque nationale, les entreprises belges réalisent des bénéfices historiquement élevés, bien plus que dans les pays voisins.
La CSC, la FGTB et la CGSLB veulent une prise de conscience politique.
La loi sur la norme salariale doit être modifiée. 87 390 personnes (il nous en fallait 25 000) ont signé notre pétition en ce sens!
Le Parlement est désormais obligé d’entamer le débat sur ce sujet. Nous devons continuer à mettre la pression, c’est pour cela que nous organisons une grande manifestation le 20 juin.

La vie est de plus en plus chère. Le chauffage, la nourriture, les carburants, le logement… les prix ont explosé. En parallèle, les entreprises belges réalisent des marges bénéficiaires historiquement élevées. Pour la première fois, elles ont franchi le seuil symbolique des 30 milliards d’euros de bénéfice brut par trimestre.

Et cela, pendant trois trimestres consécutifs. Ce chiffre est également bien plus élevé que chez nos voisins français, allemands et néerlandais.

Ce profit n’est pas une mauvaise chose en soi, sauf quand il est réalisé sur le dos des travailleurs. Les profits plantureux ne ruissellent que peu vers les salaires des travailleurs. La part qui va au capital, en revanche, augmente fortement.

En Belgique, le problème, ce n’est pas le coût salarial, c’est la répartition des profits. Il faut que les salaires puissent à nouveau augmenter sensiblement. Or, la loi sur la norme salariale nous l’interdit. Et n’autorise qu’une très faible progression pour les salaires.